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   64th IFLA General Conference
   August 16 - August 21, 1998

 


Code Number: 083-126-F
Division Number: IV.
Professional Group: Cataloguing
Joint Meeting with: -
Meeting Number: 126.
Simultaneous Interpretation:   No

Les Règles de catalogage anglo-américaines et leur avenir

Ralph W. Manning
Président, Joint Steering Committee for Revision of AACR


Résumé :

Les Règles de catalogage anglo-américaines sont en constant processus de révision. Cet exposé décrit brièvement l'historique des règles de catalogage et les raisons de la tenue à Toronto, au Canada, de la Conférence internationale sur les principes et l'avenir des RCAA, en octobre 1997. International Conference on the Principles and Future Development of AACR in Toronto, Canada in October 1997. Les résultantes de la conférence sont décrits, et en particulier deux projets. Le premier prévoit une analyse de la logique des règles en vue de déterminer les principes sur lesquels elles sont établies. Le deuxième traite de l'examen des concepts des publications à parution continue.


Paper :

Les Règles de catalogage anglo-américaines (1) (RCAA2) se trouvent, en 1998, au centre d'un processus de révision constante et sans interruption. Cette révision fut parfois soudaine et perturbante, et parfois graduelle.

On peut faire remonter ce processus jusqu'aux règles de Panizzi, développées en 1839, aux fins des catalogues du British Museum. Alors que les premières règles de catalogage reflétaient très souvent les idées de leur concepteur (Panizzi, 1839, Jewett, 1853, Cutter, 1876), les prédécesseurs des RCAA2 au 20e siècle furent généralement développées dans un contexte coopératif. Le début de la coopération internationale en matière de développement de code de catalogage remonte au code de 1908 publié par l'American Library Association et la Library Association du Royaume-Uni.

La coopération en matière de catalogage est un thème important. En 1901, la Library of Congress débutait la diffusion de ses cartes de catalogue imprimées. Les bibliothèques avaient déjà perçu les grandes économies qu'elles pouvaient réaliser en utilisant les données de catalogage de la Library of Congress; mais l'autre bénéfice évident du catalogage partagé s'avère celui de l'uniformité qui en résulte parmi les catalogues des différentes bibliothèques, un bénéfice certain pour les chercheurs qui n'ont pas à réapprendre un nouvel arrangement des données du catalogue chaque fois qu'ils utilisent une nouvelle bibliothèque. Les Règles de catalogage anglo-américaines demeurèrent à l'état de développement pendant de nombreuses années suite aux critiques très sévères qui ont suivi la publication en 1949 des American Library Association Cataloging Rules. Au cours de cette période, la Conférence internationale sur les principes de catalogage eut lieu à Paris en 1961 et on peut considérer qu'elle était réellement internationale puisque plus de 50 pays y participaient. Les Principes de Paris, qui en émergèrent, permirent d'établir une base solide en vue d'une coopération internationale axée sur le développement de règles de catalogage. La coopération entre le Royaume-Uni et les États-Unis en vue d'élaborer un nouveau code débuta au début des années 1960, peu de temps après la Conférence de Paris, mais, en fin de compte, on ne put réaliser une entente complète sur un code unique de catalogage et, lamentablement une nouvelle fois, deux textes distincts des Règles de catalogage anglo-américaines furent publiés, un texte pour le Royaume-Uni et l'autre pour l'Amérique du Nord.

Après la parution des RCAA en 1967, le Comité de catalogage de l'IFLA organisa une Rencontre internationale d'experts en catalogage à Copenhague en 1969. La Description bibliographique internationale normalisée (ISBD) origine de cette rencontre et celle-ci constitue un élément pivot de l'effort visant à atteindre l'idéal du Contrôle bibliographique universel. La première ISBD parut en 1971 et la Première édition normalisée de l'ISBD pour les monographies fut publiée en 1974.

J'ai débuté cet exposé en vous faisant remarquer que les des Règles de catalogage anglo-américainessont en processus constant de révision.

Au début de 1974, le cumul des événements était tel qu'il apparaissait clairement qu'on se devait d'adopter une nouvelle orientation pour l'avenir. En 1974 donc, une réunion tripartite fut tenue à laquelle " participait un seul délégué de chacun des trois pays 'anglo-américains', le délégué représentant à la fois l'association des bibliothèques et la bibliothèque nationale; ce comité était chargé d'élaborer un nouveau protocole d'entente et de compléter la planification du projet en vue de la deuxième édition des RCAA." (2) Du point de vue de la coopération internationale, deux des objectifs établis lors de cette réunion sont particulièrement importants :

Le Council on Library Resources avait établi comme condition de financement qu'un des objectifs de la révision des règles soit que celle-ci contribue au développement d'un code de catalogage international.

C'est à cette époque que le Joint Steering Committee for Revision of AACR (communément appelé JSC) fut établi. Celui-ci était alors composé des 5 organismes participants (l'American Library Association, la British Library, le Comité canadien de catalogage, la Library Association et la Library of Congress) et des 2 éditeurs. Suite à quantité de consultations et de collaboration, particulièrement avec l'IFLA, la deuxième édition des RCAA parut en 1978. Bien que leur parution fut ponctuée de controverses et de difficultés de mise en oeuvre, les RCAA2 s'imposèrent fermement par la suite en tant que norme de catalogage et, au moment de publier la révision de 1988, les RCAA2 étaient acceptées de façon générale dans la plupart des pays de langue anglaise.

La coopération internationale a continué de marquer le développement des règles au cours de ce processus continu de révision. En 1986, l'Australian Committee on Cataloguing devint participant à part entière du Joint Steering Committe for Revision of AACR en reconnaissance de ses contributions régulières à partir de 1981. En 1989, l'American Library Association, la British Library, la Canadian Library Association, la Library Association (du Royaume-Uni) et la Library of Congress conclurent une entente clarifiant les responsabilités et relations entre les différents organismes chargés de la production et de la publication des des Règles de catalogage anglo-américaines. La Bibliothèque nationale du Canada, quant à elle, devint participante à cette entente en 1991. On désigna par la suite ces six organismes comme étant les " principaux responsables " des RCAA et elles constituent le " Comité des directeurs " (c.-à-d. Committee of Principals). Une des fonctions principales du Comité des directeurs consiste à réviser les développements et les progrès des travaux du Joint Steering Committee for Revision of AACR (JSC) lequel est chargé d'assurer le processus continu de révision des règles.

À ce stade-ci de mon exposé, j'aimerais mettre fin aux explications portant sur le développement continu des règles de catalogage en vous faisant part que l'année 1998 marque un point tournant. En effet, on planifie mettre au point au cours de l'année une nouvelle " révision " de la deuxième édition des RCAA2; celle-ci incorporera toutes les révisions de règles et corrections qui y ont été apportées depuis la Révision de 1988. La Révision de 1998 coïncide également avec un développement majeur dans l'histoire des RCAA2 : les règles seront publiées en même temps en version imprimée et en version électronique. Le contenu des deux versions sera identique, sauf pour ce qui est des changements éditoriaux requis en vertu du support électronique.

Je vous ai brossé jusqu'ici, pendant assez de temps je pense, le contexte dans lequel se retrouvent les RCAA2. Je l'ai fait pour deux raisons. Premièrement, je voulais bien souligner l'importance de l'historique du catalogage dans cette longue suite de règles de catalogage depuis 1839 parce qu'elle a eu un impact sur les principes et les structures de nos règles de catalogage modernes et parce qu'elle illustrait bien comment les règles se sont développées pendant cette période en réponse aux conditions changeantes de l'édition et des bibliothèques. Deuxièmement, je voulais insister sur l'importance de la coopération internationale dans le développement des règles. Au cours du siècle dernier, le Royaume-Uni et les États-Unis ont établi une très bonne coopération et l'ajout de l'Australie et du Canada est venu reconnaître que l'aire d'application des règles est beaucoup plus large. Par ailleurs, les RCAA2 ont eu un rayonnement considérable dans beaucoup d'autres parties du monde. La majorité des pays de langue anglaise ont adopté ce code de catalogage. En outre, les règles ont été traduites en 18 langues, ou sont en cours de l'être. Ceci me semble démontrer une tendance très nette vers un code de catalogage international et rencontrer, par le fait même, l'exigence imposée dans les années 1970 d'effectuer une contribution vers un code international. Le partage des données de catalogage entre bibliothèques s'est avéré un volet essentiel de toute planification de gestion, particulièrement au sein des bibliothèques nationales, et ce fait a contribué à encourager la coopération internationale et l'harmonisation des pratiques de catalogage au-delà des frontières nationales.

Tournons-nous maintenant vers le futur. Un certain nombre de questions soulevées de façon cyclique et reliées à la mise en oeuvre des RCAA se sont amplifiées au cours des dernières années du fait des développements technologiques accélérés et de leur impact inévitable sur les modes d'édition. Certaines questions remontent aussi loin qu'aux difficultés initiales de mise en oeuvre des RCAA. Par ailleurs, au cours des années qui ont suivi, on a pu constater l'apparition d'un nombre imposant de guides spécialisés rédigés en vue d'améliorer ou de compléter les RCAA par rapport à certains types de documents. Plus récemment, nous avons assisté à la publication d'interprétations de règles qui ne font pas partie intégrante des RCAA2, par exemple, les Guidelines for bibliographic description of interactive multimedia (3) et les Guidelines for bibliographic description of reproductions (4) publiées par l'American Library Association. Ce sont des événements tels que ceux-ci qui ont généré le besoin d'une consultation et d'une revue en profondeur des RCAA2.

Puisqu'il est mandaté pour réagir aux besoins changeants, le JSC a organisé, avec l'appui du Comité des directeurs, la Conférence internationale sur les principes et l'évolution future des RCAA. Cette conférence sur invitation s'est tenue en octobre 1997 et a produit une liste de suivis à entreprendre par le JSC et par le Comité des directeurs au cours des prochains mois et années, toujours en tentant de maintenir la balance entre le besoin de changement et l'impact de ces changements sur les bibliothèques et leurs catalogues.

L'idée même de tenir une réunion sur invitation des experts en catalogage afin de discuter des questions auxquelles les RCAA2 auront à faire face a d'abord été soulevée par le JSC lors de sa réunion de mars 1994. L'intérêt pour une telle rencontre a continué de croître, particulièrement au fur et à mesure que le mouvement d'entraînement augmentait. Aux États-Unis, une préconférence de l'American Library Association tenue à Chicago le 22 juin 1995 et intitulée The Future of the descriptive cataloging rules (5) a traité de plusieurs des sujets se rapportant aux RCAA. Au Canada, lors de la rédaction des Rules for archival description (6) qui se fondaient en grande partie sur les RCAA2, on exprima le besoin d'une orientation claire et d'une stabilité éventuelle des règles de catalogage. Le Comité canadien de catalogage, qui fait partie du JSC, a alors préparé une proposition en bonne et due forme pour la tenue d'une réunion d'experts et cette proposition fut débattue lors de la réunion de mai 1995 du JSC. Suite à cette réunion, on élabora un cadre organisationnel pour une telle conférence et ce cadre fut par la suite enrichi par le Comité des directeurs; la proposition finale fut approuvée et la planification détaillée débuta au cours de l'été de 1996.

La conférence a eu lieu du 23 au 25 octobre 1997 à Toronto, au Canada. L'objectif de la conférence était de fournir au Joint Steering Committee for Revision of AACR des conseils quant à l'orientation et à la nature des révisions futures des règles de catalogage. Les soixante-cinq experts en catalogage furent invités à faire part de leurs vues concernant plusieurs questions, y compris par exemple, les principes des RCAA2, la façon de traiter les publications en série, la question du " contenu versus support ", l'internationalisation des règles et les modifications à apporter au processus de révision des règles. Jean Weihs, ancienne présidente du JSC, effectue présentement l'édition des procès-verbaux compilés lors de la conférence et l'American Library Association, la Canadian Library Association et la Library Association (du Royaume-Uni) vont les publier conjointement.

Les actions et recommandations résultant de la conférence feront partie d'un plan que le JSC est en voie d'élaborer et qui sera mis en oeuvre en collaboration avec le Comité des directeurs des RCAA. Les points suivants font partie des actions immédiates approuvées par le JSC lors d'une réunion tenue immédiatement après la conférence.

Quoiqu'un suivi soit en cours sur toutes ces recommandations, les travaux entrepris depuis la conférence ont surtout porté sur deux projets particulièrement importants.

Le premier porte sur la recommandation d'entreprendre une analyse logique des principes et structures servant de fondement aux RCAA2. Tom Delsey, dans son exposé lors de cette conférence internationale, a recommandé qu'une telle analyse soit réalisée; il faisait remarquer qu'une telle analyse fournirait un cadre de référence pour évaluer le produit final résultant de l'application d'un code de catalogage par rapport aux critères de précision, flexibilité, convivialité, compatibilité et efficacité.

Tel que mentionné précédemment, l'environnement dans lequel s'intègrent les RCAA2 a évolué et continue d'évoluer. Les technologies, qui ont causé plusieurs de ces changements, nous offrent par ailleurs des occasions d'adaptation. Dans son exposé, monsieur Delsey a suggéré le concept de modélisation de la façon suivante : " Plusieurs de ceux qui ont fait campagne en faveur d'un réexamen de la structure conventionnelle des données ont tenté d'illustrer et de mettre à l'épreuve la valeur de la re-conceptualisation de la notice bibliographique en esquissant (dans certains cas, en développant considérablement dans le détail) des modèles conceptuels de restructuration des notices et bases de données bibliographiques. Peu de temps après la publication de la deuxième édition des RCAA, Michael Gorman a élaboré un nouveau schème en vue d'une restructuration logique des données bibliographiques dans un nombre de " sous-ensembles inter-reliés " d'informations qui auraient été utilisés dans un catalogue qu'il envisageait comme " déployable ". (7) Plus récemment, le même concept a été développé de façon plus poussée par Michael Heaney qui a " découpé " la notice MARC en utilisant les techniques appliquées dans l'analyse " orientée objet ", (8) ainsi que par Rebecca Green qui a utilisé la technique de l'analyse " entité relation " dans le même but. (9) Par ailleurs, en se basant sur le travail effectué par Barbara Tillet sur la représentation des relations dans les bases de données bibliographiques, (10) Gregory Leazer et Richard Smiraglia ont développé un schème conceptuel pour établir des modèles de relations dérivatives à l'intérieur de " familles bibliographiques " d'ouvrages. (11) Enfin, pour ce qui est de l'entreprise la plus exhaustive dans ce domaine à ce jour, le Groupe de travail de l'IFLA sur les besoins fonctionnels des notices bibliographiques (c.-à-d., le IFLA Study Group on Functional Requirements for Bibliographic Records) a lui aussi utilisé la technique d'analyse entité relation pour développer un modèle destiné à servir de cadre de référence en vue de relier les données bibliographiques aux besoins des usagers. "

Le JSC, avec l'approbation du Comité des directeurs, a demandé à Tom Delsey de développer un schème formel qui refléterait la structure logique sous-jacente aux RCAA2. Ce schème pourra alors servir d'outil permettant le réexamen des principes fondamentaux qui tapissent le code et la formulation d'orientations quant à son développement futur. Entre temps, le JSC développe de son côté ce qu'il estime être la liste des principes qui forment le canevas du code. La liste servira, éventuellement, de point de référence lors de la discussion de l'étude de monsieur Delsey qui révélera la vraie structure logique sous-jacente aux données de la notice catalographique. Cette analyse exhaustive de la logique du code nous apparaît essentielle en vue de nous convaincre que les fondements théoriques sont solides, qu'ils sont en mesure d'intégrer des changements, qu'ils peuvent continuer d'être une réponse aux besoins des usagers, qu'ils peuvent efficacement s'interfacer avec d'autres systèmes de contrôle bibliographique et que le rapport coût-mise en oeuvre est acceptable. (12)

Le deuxième grand projet de fond entrepris par le JSC depuis la conférence porte sur les questions reliées à la " sérialité ". Crystal Graham et Jean Hirons, dans leur proposition à la conférence internationale, ont recommandé que le concept de " sérialité " soit redéfini en lui retirant l'exigence d'une numérotation ou de parties successives. Je vous rappelle la définition de " publication en série " que l'on retrouve dans les RCAA2 : Publication enregistrée sur un support quelconque, éditée en parties successives qui comportent des indications numériques ou chronologiques et dont la durée devrait s'étaler indéfiniment dans le temps.

Quoique cette définition soit conforme aux autres définitions acceptées internationalement, y compris celles dans le ALA Glossary of Library and Information Science, l'ISBD(S), l'ISDS et la norme ISO 5127, Graham et Hirons pensaient qu'elle devait être modifiée pour tenir compte des publications continues qui ne se conforment pas à strictement parler à la définition présente. Lors de consultations subséquentes à la conférence, ils ont cependant découvert qu'une approche plus englobante aurait des avantages intéressants et ils poursuivent présentement une approche alternative laquelle pourrait s'appuyer sur le concept de " document continu " en tant que " concept-parapluie " permettant de regrouper d'autres catégories de publications telles que les " publications en série ", les " feuilles mobiles " et les " banques de données ". Ils procéderont à des consultations intensives en 1998 en vue de soumettre des recommandations finales au JSC vers la fin de 1999. Même si en apparence ceci donne l'impression d'une sorte de lenteur à procéder, ceci nous donne toutefois l'assurance qu'une consultation très large pourra prendre place avant de mettre en oeuvre le changement et ceci nous assure également de la possibilité de coordonner cette initiative avec d'autres entités internationales telles que CONSER, l'ISDS et l'IFLA.

La Conférence internationale sur les principes et l'évolution future des RCAA a aidé le JSC à développer un plan d'action qui permettra de vérifier l'applicabilité des RCAA dans les environnements présents et futurs et d'atteindre un équilibre entre le besoin de se doter d'un code de catalogage valide et utilisable et les inquiétudes que suscitent le coût des changements et les coûts du catalogage. Des projets sont en cours afin d'évaluer les approches potentielles. Avant toute décision de changer le code de catalogage, le JSC prendra sérieusement en considération les impacts de tels changements, particulièrement sur les coûts du catalogage. Selon sa politique courante, le JSC procédera à une consultation sur grande échelle et le JSC utilisera davantage son site Web.

D'ailleurs, le plan d'action du JSC ainsi que d'autres informations pertinentes sont disponibles sur le site Web dédié aux RCAA à l'adresse suivante : http://www.nlc-bnc.ca/jsc/index.htm .

Notes :

  1. Aux fins de cet exposé en français, nous utilisons le titre français de cette publication quoiqu'il s'agisse en réalité de la version anglaise intitulée Anglo-American cataloguing rules.

  2. Anglo-American cataloguing rules / prepared by the American Library Association, the British Library, the Canadian Committee on Cataloguing, the Library Association, the Library of Congress. Edited by Michael Gorman and Paul W. Winkler. - 2nd ed. - Chicago : American Library Association, 1978. P. vi.

  3. Association for Library Collections & Technical Services. Interactive Multimedia Guidelines Review Task Force. Guidelines for bibliographic description of interactive multimedia. Chicago : American Library Association, 1994.

  4. Association for Library Collections & Technical Services. Committee on Cataloging: Description and Access. Guidelines for bibliographic description of reproductions. Chicago : American Library Association, 1995.

  5. AACR2000 (1995 : Chicago, Ill.). The future of the descriptive cataloging rules : papers from the ALCTS Preconference, AACR2000, American Library Association annual conference, Chicago, June 22, 1995 / edited by Brian E.C. Schottlaender. Chicago : American Library Association, 1998. (ALCTS papers on library technical services and collections ; no. 6)

  6. Rules for archival description. Ottawa : Bureau of Canadian Archivists, 1990- / Règles pour la description des documents d'archives. Ottawa : Bureau canadien des archivistes, 1990-

  7. Gorman, Michael. "Cataloguing and the new technologies" in The nature and future of the catalog, edited by Maurice J. Freedman and S,. Michael Malinconico (Oryx Press, 1979), 127-36.

  8. Heaney, Michael "Object-oriented cataloguing" Information technology and libraries, vol. 14, no. 3 (September 1995), 135-53.

  9. Green, Rebecca. "The design of a relational database for large-scale bibliographic retrieval" Information technology and libraries, vol. 15, no. 4 (December 1996), 207-21.

  10. Tillett, Barbara B. "A taxonomy of bibliographic relationships" Library resources and technical services, vol. 35, no. 2 (1991), 150-58.

  11. Leazer, Gregory H. and Richard P. Smiraglia "Toward the bibliographic control of works : derivative bibliographic relationships in an online union catalog" in Proceedings of the ACM International Conference on Digital Libraries. Bethesda : Association for Computing Machinery, 1996. P. 36-43.

  12. IFLA. Study Group on the Functional Requirements for Bibliographic Records. Functional requirements for bibliographic records : final report. München : K.G. Saur, 1998.