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et
Blanche Woolls
La faculté de bibliothéconomie et des sciences de l'information de la San Jose University a tenté de répondre à la demande croissante en éducation continue et de développer des programmes appropriés pour une grande partie des travailleurs de l'information. Plus particulièrement, l'ancien directeur de l'école, Dr Stuart Sutton, a travaillé en collaboration avec la California Library Association (CLA) et son groupe de travail sur l'avenir de la profession de bibliothécaire pour rédiger une série de recommandations sur la planification de l'éducation en bibliothéconomie et en sciences de l'information dans tout l'État. Le Dr Blanche Woolls, la présente directrice de l'école, s'est toujours intéresssée à l'éducation continue, surtout pour les bibliothécaires des milieux scolaires et public. Elle était présentatrice à la 3e conférence IFLA CPERT (Third International Conference on Continuing Education for the Library and Information Professions). En 1995, le Dr Ruth Hafter s'est vue décerner une bourse du Département de l'éducation pour mettre sur pied un institut d'été sur l'ethnologie et le comportement dans la recherche de l'information. Durant les deux dernières années, elle a travaillé en collaboration avec le bureau du président de la California State University (CSU) à la préparation d'un séminaire de deux jours sur l'implantation des changements technologiques. Mme Hafter a aussi travaillé à améliorer les programmes d'un groupe de gestionnaires de l'information provenant de plusieurs unités de la University of California at Berkeley.
Dernièrement, la San Jose State Faculty a étudié la possibilité d'offrir un programme de développement professionnel complet ou un certificat de troisième cycle. Son analyse comprenait une revue de la documentation professionnelle sur le sujet et de sondages récents non-publiés questionnant les professionels de l'information sur leurs besoins en éducation. La faculté était surtout intéressée aux sondages interrogeant des bibliothécaires californiens parce que c'est dans cette région que l'on trouve le public cible de l'école pour son certificat d'éducation continue initial. Certains de ces sondages diffèrent dans la complexité de leur technique, dans l'importance, dans la variété de répondants, dans la méthodologie et dans les questions posées. Fait surprenant, toutefois, les réponses qu'ils ont obtenues sont très semblables. Ces réponses sont troublantes parce que, dans l'ensemble, elle brossent un tableau de bibliothécaires qui ont une perception rigide et restreintedes services, des produits et des activités professionnelles. Si toutefois ces sondages reflètent les aspirations professionnelles actuelles, les gestionnaires, planificateurs et enseignants en bibliothéconomie doivent agir pour créer des dialogues avec les bibliothécaires sur le marché du travail pour que ces derniers comprennent l'ouverture des activités professionnelles et son expansion à l'aube du 21e siècle.
Les sondages de la SLA des membres et non-membres sur l'évaluation de leurs besoins, menés en 1996, sont des modèles de méthodologie et d'analyse. Ils sont connus sous le nom de Super Survey (super sondage). Des cinq sondages que nous avons analysés, celui-ci comptait le plus grand nombre de répondants et était le seul à avoir une portée nationale.
Démographie des répondants
Objectifs :
Les objectifs du sondage sur l'évaluation des besoins des membres étaient :
Les objectifs du sondage sur l'évaluation des besoins des non-membres étaient :
Instruments et méthodologie de sondage
Le Super survey (super sondage) adressé au membres comprenait 55 questions divisées en 9 sections. La section sur le développement professionnel consistait en 6 questions sur les facteurs influençant la participation aux cours d'éducation continue et sur la connaissance des divers programmes de développement professionnel offerts par la SLA. Le questionnaire a été envoyé par la poste à un échantillon aléatoire de 4 004 membres stratifiés par chapitre et par division pour s'assurer d'une représentation proportionnelle de toutes les parties des membres de la SLA. Au total, 1 847 membres ont répondu au questionnaire, ce qui constitue un taux de réponse de 46,1 %, qui est un taux exceptionnellement élevé pour un long sondage auto-administré. À un niveau de certitude de 95 %, la portée de cet échantillon fournit des données à un niveau de précision de plus ou moins 5 %.
Le sondage auprès des non-membres, qui était effectué par téléphone à l'aide d'un ordinateur, questionnait 300 personnes sélectionnées au hasard. Les gens interrogés étaient des non-membres qui avaient assisté à la conférence annuelle de l'association, ou s'étaient inscrits à un des programmes d'éducation continue, ou encore ils avaient acheté un livre publié par la SLA. Les entrevues duraient 15 minutes. À un niveau de certitude de 95 %, la portée de cet échantillon fournit des données à un niveau de précision de plus ou moins 5 %.
Résultats sur l'éducation continue
Les analystes du sondage en concluent que les technologies sont au coeur des préoccupations. Elles constituent le fil conducteur de toutes les réponses aux multiples questions.
L'association avait aussi choisi l'année 1997 pour se concentrer sur les questions reliées au développement professionnel, à la formation des bibliothécaires et au certificat.
Démographie des répondants
Objectifs :
Instruments et méthodologie de sondage
Le questionnaire était inclus dans la documentation envoyée aux membres par la poste. Sur 1 950 membres, 526 ont répondu au questionnaire, ce qui constitue un taux de réponse plutôt bas de 26 %. La mesure statistique des différences significatives dans les réponses s'appuie sur un taux de certitude de 95 %.
Résultats sur l'éducation continue
Les professionnels autant que les autres employés de bibliothèques s'intéressent aux contenus reliés aux technologies. Au moins 75 % des membres de la CLA sont intéressés à apprendre sur les applications des technologies de l'information à des conférences et à des réunions régionales, et cet intérêt est une des raisons qui motive les institutions à rester membres.
Démographie des répondants
Le projet du PLCE a été administré par un conseil de consultation formé d'importants représentants des domaines de la bibliothéconomie et de l'information. Après plusieurs réunions, le conseil a identifié les objectifs des subventions suivants :
Le résultat escompté du projet était la mise sur pied d'un modèle de formation qui permettrait aux professionnels de l'information actuels d'exercer leur leadership lorsqu'ils aborderont la société du 21e siècle.
Instruments et méthodologie de sondage
Afin d'identifier un groupe de participants potentiels aux programmes des instituts expérimentaux, le conseil consultatif du PLCE a envoyé un sondage sur les besoins par la poste à des bibliothèques sélectionnées et a affiché le sondage dans un site Web. Les réponses obtenues constituent d'elles-mêmes une preuve de l'influence grandissante des technologies. Sur 1 300 sondages envoyés par la poste, on a obtenu 671 réponses par la poste ou par courrier électronique ; la plupart des réponses provenaient du courrier électronique du site Web. Le questionnaire était composé de 16 questions reliées aux choix des programmes d'éducation continue et à la démographie des répondants.
Résultats sur l'éducation continue
En réponse à la recommandation finale, quatre forums régionaux (San Jose State University, Berkeley Conference Center, University of California at Los Angeles (UCLA), Oceanside Public Library) ont eu lieu en mars 1997. Les forums étaient gratuits et avaient été largement annoncés par la CLA, le San Jose State, UCLA et UC Berkeley. Malgré cet effort et le haut calibre et l'importance des conférenciers, seulement 110 personnes ont assisté aux forums. Les membres du groupe de travail en ont conclu que la nature théorique de la discussion sur les besoins futurs en fait de formation continue n'était pas intéressante pour les bibliothécaires sur le marché du travail. Il est clair que 110 participants, dont 26 étaient des étudiants en bibliothéconomie, ne formaient pas un échantillon représentatif des bibliothécaires, ni des membres de la CLA. D'autre part, ils formaient un groupe unique de professionnels motivés à connaître la planification de la formation continue et à y participer.
À la fin de chaque forum, on demandait aux participants de remplir un questionnaire d'une page sur leurs impressions face aux recommandations du groupe de travail. Seulement 44 ont répondu, et 18 d'entre eux ont écrit des commentaires plus longs indiquant les aspects des recommandations avec lesquels ils étaient d'accord ou non. Par conséquent, les résultats des questionnaires des forums sont difficiles à quantifier à cause du mélange de réponses qualitatives et quantitatives. De plus, ils ne peuvent aucunement être considérés pour représenter l'opinion des bibliothécaires de tout l'État. En tenant compte de ces limites, il est intéressant de noter que ce groupe a préféré la gestion, la pensée critique, l'entrepreneurship, les études sur les usagers et les ressources humaines avant les technologies.
Démographie des répondants au sondage
Tous les répondants sauf 2 (88 %) avaient obtenu leur diplôme durant les 6 dernières années. Les deux autres avaient plus de dix ans d'expérience. Un tiers travaillait dans les bibliothèques publiques, un autre dans des bibliothèques scolaires et un autre était composé de bibliothécaires spécialisés et de spécialistes de l'information.
On a demandé aux répondants de dresser une liste de ce qu'ils devaient apprendre durant les deux prochaines années. Quatorze des dix-huit ont répondu par une technologie spécifique (par exemple, Windows, sites Web). Les quatre autres ont choisi les sources d'information générales, la programmation, la gestion, l'enseignement des technologies. Trois quarts des répondants (75 %) ont indiqué qu'ils préféraient une formation offerte en une demie ou une journée. Le faible taux de réponse au pré-test ne permet pas de généraliser. Il est toutefois intéressant de relever que ce sondage correspond à ceux de la SLA et de la CLA, qui eux sont statistiquement valables. En fait, il y a un consensus provenant de tous les sondages sur les préférences de contenu et de durée des cours de formation continue.
Il faut demander aux utilisateurs de quel genre de formation ils ont besoin. Les programmes de formation continue doivent s'appuyer sur les résultats des documents sur l'évaluation des besoins. Il faut utiliser les résultats pour construire un programme officiel et respecter les contraintes de l'agence commanditaire, les attitudes des employés et les règlements de l'agence pour offrir le programme de formation continue. Certains participants réclameraient une reconnaissance concrète, comme une équivalence collégiale ou, tout au moins, un certificat. C'est pourquoi le procédé nécessite un contrôle professionnel du contenu. Un système devrait être établi pour conserver les dossiers comme la transcription des certificats de l'institution. Ces certificats deviennent souvent des étapes dans un programme de crédits et une source de fierté personnelle continue.
La formation continue dans les institutions d'enseignement supérieur est devenue une mine d'or aux États-Unis. Les coordinateurs des programmes de formation continue des universités sont souvent au rang de vice-présidents. Et à ce titre, ils établissent des frais qui peuvent limiter les écoles de bibliothéconomie dans leur souhait d'offrir une formation continue à un prix que les participants peuvent payer. Dans une institution, des frais de 100 dollars sont perçus des étudiants qui désirent recevoir la transcription de leurs crédits de formation continue pour avoir participé à un atelier.
Le rôle de bibliothécaire devient de plus en plus près des salles de classe, c'est-à-dire qu'il se tourne vers la formation et la discipline et il comprend :
Ces changements auraient aussi un impact sur les responsabilités et les tâches des autres employés, et par conséquent, ils pourraient avoir plus de responsabilités dans les opérations journalières de la bibliothèque, et libérer les bibliothécaires pour que ces derniers se concentrent sur leurs nouvelles tâches énumérées plus haut.
En d'autres mots, cet important groupe de planificateurs scolaires prévoyait que les bibliothécaires participeraient à des procédés de plus en plus abstraits et intellectuels comprenant des recherches et des applications vastes axées sur les disciplines. Les tâches des autres employés seraient reliées à une plus grande variété d'applications et de services. Tous les niveaux d'employés de la bibliothèque devraient suivre une formation substantielle pour les préparer à leur nouveau rôle.
Les facteurs significatifs de cette vue d'ensemble des changements au sein des bibliothèques scolaires sont la complexité de la formation et de l'éducation requises pour faire un travail efficace en tant que bibliothécaire dans un établissement scolaire. Les bibliothécaires doivent connaître les technologies et comprendre plusieurs applications et leur impact sur la recherche et l'apprentissage scolaire. Par contre, la formation sur les applications technologiques particulières ne peut satisfaire aux besoins de formation continue de toute une vie en bibliothéconomie. En fait, le rapport soutient la vitalité de l'éducation traditionnelle en bibliothéconomie (sélection, organisation et évaluation des ressources) et souligne la nécessité d'étudier les politiques d'information, la gestion, le marketing et les compétences d'enseignement.
Évidemment, les points de vue exprimés dans ce document ne surprennent pas les bibliothécaires. Ils expriment la vision de l'éducation continue émise par un grand nombre de professeurs, de gestionnaires, de planificateurs et de leaders en bibliothéconomie. En juin 1997, à la conférence annuelle de l'American Library Association, le comité sur l'éducation de la Library and Information Technology Association (LITA) a commandité une réunion sur l'apprentissage tout au long de la vie pour les bibliothécaires et la mise à jour des compétences techniques. Tous les conférenciers avaient une expérience impressionnante en technologies de l'information, mais aucun n'a mis l'accent sur les applications technologiques en bibliothéconomie comme tel. Ils ont plutôt mis l'accent sur une stratégie de formation continue personnelle qui comprend le développement d'une vue d'ensemble des innovations technologiques, en tenant ses connaissances à jour, et en décidant ensuite quoi apprendre pour améliorer les services aux usagers au profit de leur organisme. « Après avoir échangé avec leur auditoire, les conférenciers en sont venus à la conclusion que la profession avait besoin non pas d'un ensemble de compétences mais d 'un concept qui permettrait aux bibliothécaires de placer leur besoins de formation dans le contexte de leur carrière et des besoins de leur organisme ». Jane Fisher, spécialiste en formation continue pour la University of California Berkeley a noté que « nous ne devons pas tous devenir des programmeurs en JAVA ou des webmestres mais nous devons savoir utiliser le Web et comprendre suffisamment les technologies en jeu, et les implications qu'elles peuvent avoir sur nos services en particulier. De là, nous pouvons décider de ce que nous devons apprendre, et nous devons être capable de trouver, d'engager et de superviser les gens qui sont spécialistes de ces technologies spécifiques ». Trois importants professeurs en bibliothéconomie, Eileen G. Abels, Gary Marchionini et Paul Wasserman, ont publié récemment un modèle différent de formation continue (Abels, 1997). Ils ont conclu que les écoles de bibliothéconomie sont responsables de fournir à leurs finissants des programmes qui favorisent la pensée critique, le travail d'équipe, les stratégies de partage des ressources, des habiletés à accepter et à anticiper le changement et un engagement à améliorer l'environnement et la qualité de vie des communautés qu'ils desservent. Leur modèle coïncide avec la réalité. Presque toutes les écoles de bibliothéconomie revoient leurs programmes d'études pour y accorder plus d'importance sur la planification à long terme, les politiques d'information, les études sur les usagers, l'ethnographie, la conservation, la gestion de l'information et la propriété intellectuelle.
À un niveau plus pratique, presque toutes les annonces de postes de bibliothécaires et de spécialistes de l'information énuméraient de nombreuses compétences (relations interpersonnelles, capacité d'enseigner, analyse des systèmes) avec la connaissance d'un quelconque programme devant être maîtrisé ou l'étant préférablement. La connaissance d'une application technologique spécifique est rarement exigée et lorsqu'elle l'est, c'est habituellement pour un poste d'entrée.
Alors que les leaders et les gestionnaires de bibliothéconomie perçoivent une grande variété de domaines que les professionnels doivent connaître, pourquoi les résultats des sondages des bibliothécaires sur le marché du travail indiquent si unanimement que la solution à tous les problèmes est d'apprendre sur les technologies? Nous devons nous pencher sur ce qui sépare les leaders des travaillers. L'écart est peut-être causé par la façon dont les questions étaient posées. Par exemple, le questionnaire de San Jose demandait ce qui était le plus important d'apprendre dans les deux années à venir. Il se peut que la courte période pousse les répondants à se concentrer sur leurs besoins immédiats au travail au lieu d'ouvrir leurs horizons à la croissance professionnelle à long terme. Il n'y a aucun doute que les résultats du sondage de l'Institute for the Future Surveys étaient biaisés à cause d'un manque d'échantillon aléatoire. Plus de la moitié du groupe a répondu par le biais de l'Internet. De plus, la publicité initiale à propos des instituts expérimentaux mettait l'accent sur l'accroissement des compétences technologiques. Il est intéressant de noter que les forums à l'échelle de l'État étaient les seuls à préférer un concept élargi d'éducation professionnelle. Ils constituaient aussi la seule conférence qui tenait pour acquis que l'éducation, et non la formation, était le but de l'éducation professionnelle continue.
Le consensus à propos des horaires des cours d'éducation continue est aussi troublant que le contenu limité désiré par les bibliothécaires sur le marché du travail. Les cinq sondages ont révélé une préférence marquée pour les cours de courte durée offerts dans une salle de classe traditionnelle. Les contraintes de telles demandes mènent à des ateliers pratiques, ce qui est loin des programmes axés sur les concepts et la recherche envisagés par les planificateurs. Malheureusement, si les résultats des sondages disent vrai, les bibliothécaires choisissent des cours d'éducation continue qui conviennent mieux aux nouvelles tâches des employés de soutien.
Il est facile de comprendre que les bibliothécaires occupés trouvent difficile d'allouer du temps pour des cours d'éducation continue menant à un diplôme, surtout parce que leur employeur paie rarement les cours durant un semestre et/ou ne permettent pas de se libérer du travail. D'autre part, la majorité des répondants étaient au milieu de leur carrière, et plusieurs d'entre eux occupaient des postes de gestionnaires et de superviseurs. Mais même sans le soutien de leur employeur, il semble raisonnable de tenir pour acquis qu'ils sentiraient le besoin d'investir dans des études post-universitaires pour élargir leurs capacités intellectuelles, de gestion et de planification et par le fait même augmenter leur polyvalence d'emploi et leurs options de carrière. Alors pourquoi les résultats des sondages sont-ils caractérisés par une vision étroite et rigide de la mission de la profession? Quels facteurs motivent les travailleurs d'autres professions à sacrifier des ressources personnelles, du temps et de l'argent pour prendre part à l'apprentissage tout au long de la vie? Ces facteurs manquent-ils au contexte actuel de l'éducation en bibliothéconomie, et si oui, y a-t-il des mécanismes disponibles pour les enclencher?
Pour faire en sorte que les programmes d'éducation continue répondent aux besoins des participants dans le milieu collégial ou universitaire, il faut comprendre que l'accent doit être mis sur les étudiants misant sur un diplôme. Lorsque la planification de l'éducation continue doit répondre aux besoins d'un groupe cadre, on perd l'individualité. L'horaire et l'usage des installations requièrent souvent des manoeuvres politiques et beaucoup de relations publiques, pour attirer des participants à l'éducation continue. En tant que professeurs de bibliothéconomie préoccupés par la mise sur pied de programmes d'éducation continue appropriés, nous pensons qu'il est important pour les leaders, les planificatuers et les professeurs de chercher activement des réponses à ces questions, d'engager un meilleur dialogue avec nos collègues californiens travaillant dans les bibliothèques et de continuer l'échange à un niveau universel ici à la conférence de l'IFLA .
California Library Association (1997). CLA member survey report summary. Sacramento: California Library Association.
Education Committee of the Library and Information Technology Association (LITA) (1997). Lifelong learning for librarians: Updating your technical skills. Conference notes. Chicago: American Library Association.
Partnership for Librarian Continuing Education. (1997) Summary report of survey results Berkeley.
San Jose State University. School of Library and Information Science (1997). Alumni survey. San Jose: San Jose State University.
Task Force of the California Library Association on the Future of the Library Profession and its Education (1997). Future directions for the library profession and its education. Sacramento: California Library Association.
Woolls, Blanche (1997) "Measuring continuing education needs and results: competency for the twenty-first century." Papers from the IFLA CPERT Third International Conference on Continuing Professional Education for Library and Information Professionals. Munich: K.G. Saur.
Working Group on the Changing Role of the Library Staff of the CSU-SUNY-CUNY Joint Committee (1996). The Academic library in the information age: changing roles. Long Beach: California State Library.